Institution Eitsu
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 .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]

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Frederick Bückmann
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MessageSujet: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Mer 3 Déc - 15:56

Il n'était pas bien tard, même si le soleil s'était déjà couché dans les fenêtres de l'Institution Eitsu, car oui, cette baraque s'appelait bien l'Institution Eitsu comme venait de l'apprendre notre Bückmann national. Arrivé aux couloirs des chambres et selon toutes les complications qu'il venait de se taper, sa chambre était celle portant le numéro 10. Malgré l'heure encore, jeune il n'y avait pas grand monde qui traînait dans les couloirs, il fallait avouer que ce n'était pas l'endroit le plus palpitant de la terre non plus. Ainsi, il n'y avait pas grand monde qui le virent mollement se laisser glisser contre le mur après avoir négliegemment jeté son sac à dos croulant et lourd à ses pieds. Une fois assis il laissa sortir un soupir à en fendre l'âme, à la fois si découragé et soulagé d'avoir enfin quelque chose sur lequel s'asseoir même si c'étaut plancher un peu dur et crade.

Il lança sa tête tomber vers l'arrière jusqu'à être appuyée sur le mur, tout aussi dur que le plancher. la seule question qui tournait comme une folle dans sa petite tête était:"Mais qu'est-ce que je fous là moi?", il avait essayé de voir cela un peu comme une nouvelle aventure, une belle colonie de vacance, mais pas moyen. Tout ce qu'il y voyait c'était un manoir perdu où en enfermait des phénomènes de foire. Raison de plus pour se demander ce qu'il faisait dans ce truc, ce n,était pas comme s'il avait la capacité de se faire pousser des yeux dans le dos ou de cuire un poulet avec la force de son esprit, il était simplement doué pour "sentir" certaines émotions. Sa grand-mère maternelle lui avait souvewnt répété que c'était de famille avant que sa mère ne la foute dans une tour à vieux parce qu'elle lea trouvait gâteuse et parce qu,elle avait peur de lui passer sa voiture pour qu'elle aille à la messe. En refaisant les compte des évènements, il en vit à la délectable conclusion que c'était de leur faute comme toujours. S'ils avaient pas eu l'idée de se marrier après 16 ans de vie commune pour se sentir comme des jeunes gens et baiser pendant deux semaines de temps dans une villa italienne alors que lui était en train de se faire étrangler par une vieille folle, il ne serait pas en train de se morfondre comme un con dans un couloir.

Il voulait bien essayer de juste vivre ici comme si les conséquences de ce qu'il avait fait n'atteindraient personne, mais il était du genre à toujours réfléchir. Maintenant qu'il était officiellement entré dans cette "académie" plus moyen d'en sortir et d'aller terrorriser la populaiton avec sa si dangereuse empathie naturelle et non voulue. Normalement, il aurait dû être content d'pêtre pris avec plein de petits perturbés qui devaient tous se mutiler dans leur chambre en couinant à quel point ils étaient des monstres, personne ne viendrait le déranger. Mais il savait que ce n'était ajmais aussi simple. Il jeta un regard à sa porte de chambre, s'il y entrait il scellait à tous jamais le fait qu'il vivrait dans cet institut jusqu'à ce qu'on le relâche, et il n,avait pas encore assez cogité pour. Il décida donc qu'il était mieux pour lui de dormir sur le plancher. Si le sommeil lui venait après tout cela.
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Jeu 4 Déc - 4:38

  • Antoine revenait d’une palpitante journée à rien faire. Il avait assisté à des cours, rien de bien étonnant dans ça, mais il avait décidé d’explorer l’institution. Après tout il semblerait bien qu’il allait être pris dans cet endroit pendant… Tout le reste de ses années scolaire, en fait le jeune homme n’avait aucune idée de quand on allait le laisser sortir de cet endroit pour « les personnes de son genre ». Antoine détestait vraiment cette appellation, il n’était pas un cas à par manifestement, mais pourtant il ne faisait pas partie d’une race de weirdos avec des pouvoirs étranges pour traumatiser les gens normaux. Son pouvoir pouvait être à la limite impressionnant, mais quand même pas de là à se faire mettre dans un endroit pour gens étranges. Il n’avait rencontré qu’officiellement une seule personne et elle était sympathique c’était Étienne, mais pourtant l’institution ne plaisait pas vraiment au jeune homme.

    C’était immense certes tout pour plaire normalement à un gars de son âge. Pourtant c’était trop étrange comme endroit. Tout allait trop bien. C’en était dérangeant. Même si beaucoup de gens étaient perturbés, déçus ou apeurés de leur pouvoir, il n’y avait rien d’intéressant et surtout c’était comme un monde de barbe à papa. Personne n’était vraiment intéressant. Bon d’accord, c’était en excluant lui-même et Étienne. Mais bon il jugeait peut-être le tout un peu trop vite. Ça faisait à peine deux jours qu’il était dans cet endroit trop fantasmagorique à son goût. Il n’aurait peut-être pas du s’enfuir de chez lui. En plus quand il était en train de battre son frère ! Antoine était découragé par cela et c’était probablement la seule et unique chose qui le faisait regretter d’être parti de chez lui. Il battait enfin son grand frère, mais bon il était peut-être mieux dans cet endroit.

    Bref le jeune homme passa à sa chambre comme pour voir si quiconque qui la partageait avec lui y était. Malheureusement personne. Avaient-ils un cours obligatoire où Antoine devrait se trouver en ce moment même ? Surement pas. Bref le super sauteur sauta sur son lit préparé à faire un petit somme. Malheureusement il n’avait pas vraiment envie de dormir. Antoine voulait en fait rencontrer les gens de son dortoir de sa chambre. Sinon le réveil allait être bizarre. Il attendit pendant un court moment, décidant maintenant de faire les 100 pas dans sa chambre. Il ne pouvait pas fouiller comme il le ferait chez lui et c’était bien dommage. Antoine se retrouvait donc avec absolument rien à faire. C’était quoi leur but de ne pas être dans les dortoirs à une telle heure. D’ailleurs quelle heure était-il au fait ? Il était environ 6h30 du soir, ce n’était pas trop tard =O.

    - Hey toi ! T’es dans le chemin, bouge. –

    C’était ce qu’on entendit dans le couloir des chambres. Antoine avait finalement décidé de sortir de son dortoir pour explorer à nouveau. Malheureusement il y avait un type complètement barjo qui s’était assis en plein milieu du couloir. Enfin pas vraiment, mais du point de vue de ce cher Antoine oui. Il le dérangeait en fait. Il n’aimait pas avoir l’air méchant, mais sa petite taille faisait qu’on ne le prenait pas au sérieux alors… Bref le super sauteur se rapprocha de l’autre gars avec un regard méchant, enfin supposément sur le visage. Il fronça les sourcils et répéta tentant d’avoir l’air méchant quoi que ça ne fonctionnait pas vraiment, il avait plutôt l'air d'un idiot fini, surtout si le type c'était tassé ce à quoi Antoine n'avait pas du tout fait attention à : :

    - Bouge -
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Frederick Bückmann
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Jeu 4 Déc - 21:58

Malgré que son crâne au complet semblait irradieux d'une doulouresue chaleur et que sa migraine tembourianit sur ses tempes depuis qu'iil s'était éveillé à une heure inconnue, le sommeil ne semblait pas venir pour Frederick. Sa position précaire, assis dans un couloir, en était peut être la cause, mais il n'était pas encore prêt à entrer en cette chambre du démon! Peut êtreétait-ce rempli de fous qui se transforment en belette pour vous piquez vos caleçons quand vous ne regardez pas6 Ou pire! Peut être étaient-ce des chambre mixte et il serait pris avec une communauté de filles amateures de curling ou de ballet classqieu, al grosse emmerde quoi. Il esquissa un petit rire silencieux qui n'eut pour effet qu'il se tape la tête contre le mur, ce qui était franchement peu agréable. Dans cet état de fatigue, il pensait encore plus à nimporte quoi qu'à son habitude, c'était peu dire.

Il ferma ses yeux qui, même eux, semblaient lourd et sur le point de prendre des vacances à acapulco pour se refaire un santé avec un pina colada à la main, si les yeux avaient des mains bien sûr. Il en ouvrit un pour jeter un oeil à sa vielle montre qui affichait 18h30. Une pensée devenue habituelle lui passa dans la tête, il était bientôt 19heures, l'heure de manger. Ce rappel à la réalité parcourut son échine en tant que frisson désagréable qui le força à rouvrir les yeux pour ne pas revoir dans son esprit le isage tordu de la tante sophie. Il ne comprenait encore qu'à moitié ce qui s'était passé ce soir là. Frederick n'arrivat pas à déceler ce qui avait déclenché toute cette merde. Ce n'était sûrement pas parce qu'il était arrivé en retard de six minutes deux jours auparavant. Sophie avait du avoir des problèmes psychiatrique, et sa soeur, pendant ce temps-là, s'éclatait en italie avec son mari en lui donnant son si problématique fils de 16 ans. Le jeune homme savait à quel point sa mère était irresponsable, mais pas au point d'ignorer la maladie de sa soeur au point de l'envoyer là-bas. Il mit toute la faute de ccet incident sur ces parents, ils méritaient bien de chercher un bon moment où il était parti, ces deux salauds "d'adulescents". Alors qu,il était habité par toutes ses pensées haineuses, il se sentit s'assoupir, enfin.

Il rouvrit les yeux brusquement, réveillé par une exclamation près de lui. Il cligna des yeux premières fois et se tourna lentement vers la source de bruit. Un gars, dans le couloir avec les sourcils. Sa vue fit sourire mollement Frederick qui était trop engourdi pour rire. Il avait des cheveux bruns-roux, bref des cheveux et des yeux, mais ce gars était vraiment petit. Et pour une raison qu'il ignorait, l'un des lutins du père Noël venait lui chercher des crosses alors qu'il était tranquillement assis à dormir dans le couloir, rien de bien méchant. Le petit se rapprocha de lui et lui répéta sûrement l'exclamation qu'il n,avait pas bien saisi dans les vappes du sommeil. la seule réponse que reçut le gus fut la voix hagarde du jeune homme qui demandait, sans pour autant bouger comme l'autre souhaitait:

-On est le matin?

Puis après, il ne put retenir plus longtemps sa fatigue qui n,avait pas été comblée par ses 5 minutes de sommeil qu'il prennait pour des heures et éclata tout simplement de rire à la vue du petit bonhomme. Ce rire tout à fait inutile et hors-sujet lui fit du bien. Il essuya même ses yeux, comme s'ils n'étaient plus habitués de rire. Et redonna son attention au gars qu'il appelerait grincheux jusqu'àpreuve du contraire.
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Ven 5 Déc - 5:59

  • Antoine ne savait pas qui était le type qui était en plein milieu du couloir, mais il fallait qu’il l’intimide. Le jeune homme n’aimait pas qu’on le dérange pour rien et même si ce gars ne lui avait absolument rien fait il fallait que le super sauter se venge sur quelqu’un pour les brutes qui martyrisaient Étienne. Enfin Antoine avait fait une seule chose mis à part rencontré Étienne depuis son arrivée, il avait accepté sa situation de perdu et de perdant. Son pouvoir lui apportait certains avantages, surtout comparé à d’autre, mais pourtant c’était à cause de ça qu’il se retrouvait ici. D’accord l’école n’avait pas l’air trop pénible ce qui était un miracle soit dit en passant, mais il était gentil avec son estimation. Le jeune homme savait qu’il n’était pas fait pour vivre dans une institution pour les gens perturbés avec des pouvoirs plus étranges les uns que les autres…

    Finalement Antoine décida de ne pas essayer de se montrer méchant envers ce type albinos. Il ne méritait peut-être pas ça. Enfin c’était surtout que le super sauteur était assez démoli par l’idée de se retrouver dans un endroit aussi bidon alors il n’était quand même pas question qu’il démolisse le moral d’une pauvre personne sans défense. Bref le jeune homme s’étira légèrement fatigué. D’ailleurs ce gars-là aussi semblait plutôt crevé. Il n’avait quand même pas dormit dans le couloir. Antoine arqua un sourcil à cette pensée. Qui serait assez idiot pour faire ça alors qu’il y avait une chambre juste à côté. D’ailleurs le jeune sauteur voyait très bien le numéro dix sur la porte. Soit cet idiot était aveugle soit il était simplement idiot. Antoine votait pour la deuxième option bien évidemment. Il lui répondit à sa superbe question aucun rapport sur le matin sur un ton plus joyeux :

    - Non du tout la soirée est à peine commencée. –

    Alors que le type se mit à rire, le super sauteur soupirait. Pourquoi cet étrange bonhomme albinos riait ? Était-ce à cause de sa taille de nain ? Si oui ce type n’était pas mieux que mort. Néanmoins Antoine se dit qu’il serait peut-être mieux de partir sur des meilleures bases. Le jeune homme n’avait pas vraiment envie d’avoir des ennemis alors qu’il venait d’arriver il n’y a que trop peu de temps soit la veille. Ça serait complètement idiot et Antoine ne voulait pas qu’on le prenne pour un débile profond. S’Approchant donc du mec comme pour le frapper, le petit pou lui tendit la main avec une certaine répugnance évidente. Il soupira pour la énième fois et prit une grande respiration avant de se lancer dans l’enfer d’une présentation soit un très simple mais très efficace :

    - Je suis Antoine Carter et t’es qui toi ? –

    Puis Antoine bailla légèrement en se disant que dans le fond la vie dans cet endroit n’était pas trop pénible. Il ne l’aimait pas mais il ne pouvait rien y faire. Il s’était enfuit et donc ce n’était pas que de la faute de ses parents s’il se retrouverait dans ce trou à monstre. Même si aux dires d’Étienne le directeur était un type bien qui lui aussi avait des pouvoirs et donc il avait fait ça plutôt pour les aider. Même dans le fond Antoine ne croyait pas un traitre mot de ce que son ami disait, il était peut-être mieux pour son opinion du bâtiment qu’il ne s’imagine pas que c’était un simple trou à montres. Il s’assit donc à côté de l’autre mec en soupira très fort. Ça vie ici allait faire un immense changement comparé à son ancienne.
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Ven 5 Déc - 19:05

L'émotion qui émanait du petit était une sorte d'aminosité complexe que Frederick avait du mal à analyser surtout dans cet état de fatigue. La réponse à sa question le déçut et le surprit à la fois, tout d'abord, parce qu'on était pas le matin, cela voulait dire qu'il avait dû dormir quelques minutes tout au plus et que ce mec l'avait réveillé pour une raison qu'il ignorait. Il avait beau dormir dans les couloir, il y avait bien assez de place pour passer. mais bizarrement, normalement , il aurait pu envoyer ce gars paître qu'il aille emmerder quelqu'un d'autre, mais il n'avait pas l'énergie pour cela. Et aussi l'espèce d,aminosité qu,il ressentait en lui, il n'avait jamais été très bon pour expiremer ce point de vue prévilégié sur le coeur des autres, mais il sentait des bonnes intentions derrière sion attitude de grinch vs noël. Et lui, pauvre petit pseudo-albinos qui en comprenait rien se fiait à cela pour ne pas sauter au visage du nain et lui arracher les deux oreilles pour en faire un collier.

Lorsqu'il eut finit de rire, il vit la mine découragée de son interlocuteur qui soupirait. Cela le fit sourire. Oui, notre Bückmann national se transformait en grosse guimauve en cas de fatigue et ce mec le faisait totalement rire. Il ressemblait à un chiuahaha... un chiwuawua? Bref le chien là, il n,avait jamais vu des chiens aussi petits et teigneux à la foix. mais au moins un à poil long, parce que ceux à poil courts ressemblait à des rats. mais ce n,était pas juste à ause deça, son attitude était sympathiquement antipathique, bref, du total nimporte quoi, mais pour Frederick à cet instant, tout cela semblait très cohérant. Puis le petit s,approcha de lui comme s'il voulait lui foutre une bonne baffe, amis le jeune demi-allemand était si elnt à cet instant qu'avant d'avoir eu le réflexe de sursauter, la baffe se transforma en poignée de main. Il attrapa sa main en voyant la face de L,autre, comme s'il avait envie d'aller se laver les main rapidos. Il n'en fit rien et l'écouta se présenter peu ploiment, mais tout de même, continuant de lui serrer la main un peu trop longtemps pour que cela paraisse normal il réppondit:

-Frederick Bückmann.

Son nom et son très léger accent pouvraient sans équivoque son origine mais dans cet institut, tout le monde venait de nimporte où. Il lâcha sa main et le vit bailler, essayant de lutter, sachant que les baillements étaient très contagieux, mais sans succès, il bailla à s'en décrocher la machoire, question d'oxygéner un peu son cerveau qui semblait tremper dans le bouillon. À sa grande et ralentie surprise, le mec ne passa pas son chemin mais s'assit à côté de lui avec un autre loooong soupir. il semblait tout aussi las que lui. laissant un silence respecteux, Fred, finit apr demander, mi-amusé:

-Grosse journée?
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Dim 7 Déc - 17:18

  • Antoine n’était pas plus content de ça de se retrouver en présence de la personne qui était assise devant lui. Pourtant il décidait de lui parler. C’était simplement qu’il s’ennuyait et c’était beaucoup plus intéressant que de rien faire dans sa chambre à la recherche d’une quelconque personne avec qui parler. Il n’y avait comme personne avec qui il pouvait discuter dans sa chambre. Après tout ils n’étaient pas là. Simplement absents surement. Mais ça ne l’avançait guère de penser ça puisqu’il ne trouvait rien d’autre à faire. Enfin le gars, qui était assez bizarre du moins physiquement, était la seule personne à qui il pouvait discuter. Antoine décida donc de se contenter de lui, il ne pouvait rien faire d’autre que de lui parler. Après avoir été relativement sec avec lui, il serait peut-être mieux qu’il agisse plus calmement et peut-être plus détendu et sympathique. Il ne voulait pas que la seule personne avec qui il puisse parlé le déteste.

    Enfin c’était plus à cause de ça qu’Antoine avait décidé de changer d’attitude. En gros ce type était simplement un bouche-trou. C’était peut-être méchant quand on l’envisageait dans ce sens, mais ce n’était pas totalement faux. Le jeune homme s’étira et le détailla du regard, il y avait une seule chose dont le super sauteur pouvait être sur, ce type n’avait pas l’air extrêmement menaçant. Juste un peu bizarre, mais il faut dire que d’être dans cette école c’était en partie parce qu’on était bizarre. Il n’y avait pas vraiment d’autre possibilité pour y entrer du moins, c’était le point de vue d’Antoine. Déjà qu’avoir des pouvoirs c’était un brin… bizarre, imaginez des gens bizarres avec des pouvoirs tout aussi étrange. Heureusement le jeune homme ne faisait pas partie de cette catégorie. En entendant le nom de son interlocuteur il répondit avec un certain sourire :

    - Enchanté -

    Frederick Bückmann. Ce n’était pas un peu bizarre comme nom ? Antoine se demandait quel parent étrange pouvait nommer son enfant d’une façon aussi bizarre… Le super sauter décida d’essayer de trouver c’était de quelle nationalité. Suédois ? Mexicain ? D’accord peut-être pas mexicain, mais suédois c’était toujours possible. Quelle autre nationalité Frederick pourrait être ? Allemand peut-être =O ? Le style du nom étrange fonctionnait parfaitement bien avec cette théorie. Fier de ça, Antoine esquissa un sourire de champion, le sourire qu’il faisait quand il gagnait contre quelqu’un au basket… Enfin il était plutôt fier d’avoir trouvé de quelle nationalité Frederick pourrait être, mais il n’en était pas vraiment sur. Donc il devait lui demander. Évidemment grâce à son super et magnifique tact il pourrait lui demander sans problème. Après un court moment de réflexion il demanda sur un ton enjoué et joyeux :

    - Tu es allemand n’est-ce pas ? -

    À la question de Frederick, Antoine eut une mine pensive. Non il n’avait pas vraiment eux ce qu’on pouvait appeler une dure journée. C’était simplement que l’endroit où il se trouvait n’était pas ce qu’on pouvait qualifier de plaisant. En tout cas. Le jeune homme ne pouvait rien y faire et il était bien sur au courant. Mais bon il devait quand même répondre à l’autre gars sans se plaindre au sujet qu’ils étaient coincés ici. Il répondit donc :

    - Non pas particulièrement… -

    Bon ça ne répondait surement pas à la question de l’autre type. Enfin objectivement ça y répondait, mais si Frederick avait posé cette question c’était surement parce qu’il voulait savoir quelque chose d’autre. Antoine chercha donc la répondre qui irait le mieux au contexte. Il répondit donc finalement un certain sourire neutre sur le visage :

    - Mais je n’aime pas vraiment le fait d’être dans un établissement pour les gens de notre espèce. Toi tu es nouveau ? -
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Frederick Bückmann
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Lun 8 Déc - 16:02

Au bout d'un moment, l'aminosité du petit disparut, comme elle était venue. Alors qu'il répliquait un "enchanté" formel, Frederick le fixa un m,oment avec perplexité. Cette empathie ne lui servait jamais à grand chose. tout ce qu'elle lui avait appris c'est que chaque humain était une énigme en soi. à chaque dois qu,on arrivait à en sonder un bout, l'étendue de tout ce qu'on en comprenait pas continuait de grandir, une nouvelle variable qu,on avait oublier de considérer venait narguer tous ces efforts. Plus il ressentaient leurs émotions, moijns il comprenanti d'où elle sortaiejnt. Il était content de ne pas être télépathe comme dans les vieilles émissions fantastiques, d,entendre toutes ces pensées le rendrait sûrement fou ou du moins paranoïaque. De savoir tout ce que cette bande d'imbéciles ressentaient était déjà asse un fardeau. Surtout des adolescent pour qui la vie et un drame, pas moyen d'être dans une pièce avec plus de 4 personnes sans ressentir un malaise, mais jamais aussi grand qu'avec tante Sophie qui avait un trou noir dans le coeur qui gobait toutes ces pensées. Il se rendit compte que depuis tout le temps qu'il réfléchissait, il était entrain de fixer Antoinè, sûrement avec un air s'apparentant au violeur d'enfant dérangé.

Il regarda donc ailleurs avant que l'autre pense qu'il soit fou. il était bien content de parler avec quelqu'un pour éviter de s'endormir à 18h30 et de se réveiller frais comme la rosée à 3h du mat le lendemain. Il était surtout content de parler à quelqu'un qui n,allait pas lui faire visiter l'école avec un ton de guide touristique. Soudainement, semblant faire fi de son expression bizarre d'il y avait quelques secondes, il lui demanda s'il était allemand. Il acquiesca d'un hochement de tête puis ajouta:

-Juste mon père en fait.

Son nom l'avait peut être aidé, mais il était surtou`t chanceux pour avoir deviné comme ça du premier coup. Il essaya de regarder l'autre pour trouver sa nationalité. Antoine, c'était un nom français non? Mais le Carter posait problème, il avoua donc rapidement:

-Toi par contre, j'en ai aucune idée.

Ce n'était pas un sujet de conversation très utile et profond, en plein ce qu'il lui fallait. Il vit qu'il s'était trompé, l'autre ne soupirait pas particulièrement parce qu'il était fatigué. Entendant qu'il n,avait pas l,air d'avoir fini sa phrase, frederick l'observa avec attention, sachant qu'il allait sortir quelque chose de très idiot ou de très pensé. Il lui avoua se sentir mal coincé avec les gens de "leur espèce", à cette appelation nouvelle, fred' émit un soupir. Il avait l'impression qu'il allait l,entendre souvent. les jeunes ici devaient être très complexés d'être différents. Ce qui lui faisait moins plaisir dans cette académie c'était que tout le monde était différent original, donc paradoxalement, tous pareil, alors comment être différent? L'individualsime était tel qu'il n,y en avait plus, encore une preuve que les extrêmes se rejoignaient et que la vie n'était en fait qu'un grand cercle. Antoine lui demanda s'il était nouveau. Il répondit, n essayant d'y trouver de la fierté:

-Je suis arrivé cet après-midi, y'a pas plus nouveau...

Il réfléchit un moment, puis lança, à demi-sérieux pour détendre un peu l'atmosphère un peu déprimante:

-Peut-être que cette école est en fait un gros plateau de tournage de télé-réalité...

Il le pointa, avec un air sérieux malgré le total délire qu,il débitait, il continua sa réflexion:

-Toi, vu ta taille, les gens vont te trouver sympathique. Et c'est surtout le jeunes femmes avec un surplus d,instinc maternel qui vont voter pour toi.
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Mer 10 Déc - 0:10

  • Antoine n’aimait pas vraiment qu’on se moque de lui et ce type peut importe le moment semblait le faire. Ce n’était surement pas le cas, enfin le jeune homme espérait, mais ça avait l’air de ça. Le super sauteur se demandait vraiment quel pouvoir cet étrange personnage pouvait avoir. Il n’en avait aucune idée et ce n’était certainement pas un pouvoir de jumper sinon il l’aurait aperçu durant ses cours. Donc Frederick devait avoir aussi bizarre que sa personne, sinon ça ne fonctionnerait pas… Surement que le choix des pouvoirs avaient un certain rapport avec la personne qui les possédaient, enfin Antoine ne le savait pas et probablement que la seule personne qui pourrait lui répondre ce serait le directeur. Mais le petit pou n’avait pas vraiment envie de lui parler pour avoir des réponses à ses questions, si le directeur les avait ce qui n’était peut-être enfin plutôt surement pas le cas.

    Les pensées du super sauteur continuèrent dans cette direction alors que son interlocuteur le fixait d’une drôle de manière. Avait-il quelque chose de coincer entre les dents ? Passant sa main rapidement sur ses dents de manière à sentir s’il y avait quelque chose, Antoine arqua un sourcil. Ce n’était pas ça alors pourquoi Frederick le fixait comme un violeur ou un psychopathe ? Finalement l’autre bizarre regarda ailleurs aussi rapidement que le jeune homme avait remarqué qu’il le fixait. Décidant de ne pas penser au fait qu’il l’ait fixé, le petit pou lui demanda simplement s’il était allemand. Seulement son père ? Il avait donc juste hérité du nom. Antoine se dit qu’à sa place il aurait demandé de changer de nom… Alors que son interlocuteur lui avouait qu’il n’avait aucune idée de quelle nationalité il était le super sauteur ne fit que sourire. La réponse était pourtant évidente. Il lui répondit donc sur un ton enjoué :

    - Je suis Français, mais le grand-père de mon père était un anglais. -

    Le soupir de Frederick fit réagir Antoine. C’était surement parce qu’il avait parlé de l’école pour les gens de leur espèce. Pourtant c’était vraiment ça. Le jeune homme n’était pas vraiment complexé du fait qu’il se trouvait ici, c’était simplement qu’il n’aimait pas vraiment voir autant de gens complexés par leur pouvoir, alors que c’était bien souvent positif. Bon d’accord il y avait des dons positifs, comme celui qu’Antoine avait. Il pouvait sauter à des hauteurs vertigineuses et retomber sans se faire mal. C’était assez cool, surtout pour un type comme lui. Frederick lui dit qu’il était nouveau de cet après-midi. Effectivement il n’y avait pas vraiment plus nouveau. Antoine rigola un peu pour rien en remarquant sur quoi l’autre gars était. Ce n’était pas quelque chose comme ses bagages ? Il s’arrêta de rire brusquement et demanda :

    - Tu n’as pas de chambre ou tu n’as juste pas entré tes bagages ? -

    Pui son interlocuteur continua dans une de ses lancées de bizarrerie. Un plateau de tournage. Et oui dans le fond c’était une immense idiotie. Antoine soupira en se retenant de rigoler davantage. Comme si c’était possible. Quoi que ce serait vraiment très drôle. C’était du moins ce que le petit pou pensa jusqu’à temps que Frederick mentionne sa taille. Comment ça vu sa taille !? Surplus d’instinct maternel ? Pas du tout ! Il n’avait pas que les personnes avec un surplus d’amour vote pour lui. Et puis ça n’existait pas cette émission de téléréalité ! Fronçant les sourcils en soupirant. Antoine s’exclama très fort :

    - Comment ça vu ma taille !? Tu t’es pas regardé toi c’est les gens bizarres qui vont voter pour toi… -
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Jeu 11 Déc - 16:00

Frederick, durant un moment de silence prit le temps de regarder la main gantée avec laquelle il avait serréla main d'antoine assez naturellement sans scrupule. Il sentit l'odeur étrange qui émanait de ses gants atteindre ses narines. Peut être était-ce cela qui avait dégouté Antoine, ces gants avait une odeur cuivrée et doucereuse, celle du sang. Sans avoir l'air trop pressé, ce qui aurait créé des question gênantes, il les enleva et les laissa tomber à côté de lui pour éviter que l'odeur ne s'inscruste pas dans sa peau si elle ne l'avait pas déjà fait. Il ne connaissait pas le pouvoir de l'autre mais il espérait qu'il n,arrivait pas à lire dans sa tête. Si c'était le cas, il s'était fait très discret.

Il le délivra un peu de son anxiété causée par le silence et ses gants en répondant à sa question boomerang des origines. Français, logique. Le nom Carter à quonotation anglophone venait sûrement de son arrière-grand-père paternel. Il était plutôt rare de voir la France et l'Angleterre flirter ensemble et l'histoire nous l'avait prouvé des centaines de fois plutôt qu'une. Mais bref il y avait bien des exception et les marriages d'auparavant n,avait jamais été pour l'amour alors pas la peine pour le demi-allemand d'essayer d'imaginer la vie de l'ancêtre Carter. Il répondit simplement:

-Cool.

Bon, il n'y avait pas vraiment quelque chose de cool dans tout cela, mais c'était une manière de signifier qu'il écoutait tout en prouvant que ça l'interessait au minimum. Alors que Frederick déprimait un peu sur le fait d'être dans une cage à lapins radioactifs, Antoine se mit à rire, les yeux posés soi sur ses bagages ou pire, la aprtie du corps qui était assise dessus. dans aucun des car, Bückmann ne comprenait son hilarité. Il lui demanda en gros s'il était perdu ou juste crétin. D'un air soudainement tiré, il pointa nochalament la porte en répondant:

-C'est celle-là. Mais j'ai pas envie d'entrer.

Fin de l'explication, s'il continuait plus loin, ça allait avoir l,air bizarre, car lui non plus ne comprenait pas trop pourquoi cette porte semblait être quelque chose qu'il n'était pas prêt à affronter.

Et lorsqu'il mentionna en blague la taille de son PETIT interlocuteur, Frederick sentit une vague de colère le gifler. Ah, il n'aimait pas qu'on aprle de sa taille lui. En le voyant ainsi répliquer plus que sur la défensive il ne put s'empêcher de rire aux éclats et de répondre faussement offensé:

-Moi? Bizarre? Juste original!

Et ce n'était pas vraiment une élve de L,institution eitsu qui était le mieux placé pour le traiter de bizarre, même s'il le prenait pour un compliment.
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Mar 16 Déc - 1:43

  • Antoine jugea son interlocuteur du regard. Il était vraiment étrange. Mais il fallait dire que pas mal tout le monde était étrange dans cet institut. Antoine faisait partie des gens étranges, mais il n’était certainement pas le pire. Le jeune homme n’avait pas le pouvoir le plus étrange, sauter haut et loin, en d’autres termes un super saut, c’était loin d’être si étrange. Par contre le pouvoir de Frederick était inconnu pour Antoine. Pas qu’il tenait vraiment à le savoir. Mais si c’était en fonction de la personne, son pouvoir devait être bizarre et inutile. Bon ce n’était peut-être pas le cas, mais rare était les pouvoirs qui n’étaient pas inutiles. Antoine affectionnait le pouvoir qu’il avait, mais il fallait avouer qu’il était plus qu’inutile. Puis la télékinésie d’Étienne, c’était vraiment chouette, aucun doutes à ce sujet, mais c’était aussi inutile que c’était chouette. Alors tous les pouvoirs devaient être comme cela, c’était pour cela qu’il n’y avait pas grand personne dans la société avec un pouvoir.

    Le cool de Frederick n’était qu’accessoire aux yeux du jeune homme. Après tout c’était simplement pour expliquer la raison de son nom, ce qui n’était pas très important. Frederick devait surement se dire la même chose. Antoine n’avait jamais connu son arrière-grand-père paternel et il se fichait pas mal de la vie que cet homme avait pu avoir. Après tout c’était du passé et le super sauteur vivait dans le présent. Bref soupirant légèrement, le jeune homme regarda le mur opposé aux deux garçons. C’était vraiment ennuyant de se retrouver ici. Antoine n’avait pas demandé à personne s’il y avait une équipe de basketball. S’il n’y en avait pas ce serait une mort que d’être ici. Le petit pou savait plus que bien qu’il serait capable de survivre, mais ce serait nettement plus simplement avec du basketball dans une équipe x).

    Puis Frederick lui montra sa porte de chambre. Alors il n’avait juste pas envie d’y entrer. Il préférait rester sur le sol comme un idiot étrange. Antoine le fixa pendant un moment sans bouger le petit doigt. Il n’avait pas vraiment envie d’essayer de comprendre la chose étrange qui se tenait debout à présent. Sautant sur ses pieds pour aller ouvrir la porte de ce mollusque, le super sauteur manqua de s’assommer sur le plafond. Réussissant de justesse à se pencher avant d’atteindre le haut du plafond, le jeune homme se dirigea vers la porte et tenta de l’ouvrir du mieux. Ne réussissant pas du tout le jeune homme se tourna avec un air déçu en direction de Frederick. Fronçant les sourcils davantage le petit pou se dirigea vers les bagages de son interlocuteur, il les prit d’une main et les lança en direction de Fred. Antoine s’exclama :

    - Débarre cette porte pour que je puisse m’assoir sur un lit confortable. -

    Le super sauteur ne quitta pas son interlocuteur du regard. Le ton faussement offensé de Frederick n’atteignit même pas Antoine qui ne fit que soupirer. Si un étrange comme le petit pour le trouvait bizarre, il y avait peut-être un problème. Il fallait dire que son teint d’albinos n’aidait certainement pas le bizarre de ce type. Soupirant à nouveau, le jeune homme chercha un sujet de conversation. Son choix s’abattit finalement sur le pouvoir. C’était quelque chose de vraiment facile à demander. Donc Antoine demanda :

    - C’est quoi ton pouvoir ? -
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Frederick Bückmann
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Mar 16 Déc - 15:36

Alors que le jeune Bückmann était perdu dans ses pensées, devant lui, la première manifestation surnaturellement étrange se déploya devant ses yeux. Antoine qui avait voulu sauter sur ses pieds pour se relever, comme nimporte qui uy mit trop de coeur et faillit se heurter au plafond. En voyant cela, Frederick sursauta, surpris, les yeux écarquillés. Alors c'était ça son pouvoir? Sauter super haut? En revoyant la scèbe qui ne datait que de quelques secondes, Fredou ne put s'empêcher de rire aux éclats, en voilà un qui semblait plus mal barré que lui à manquer de s,assomer à chaque geste brusque. Il essaya d'ouvrir la porte mais en vain, car c'était le jeune homme presque albinos qui avait les clés qu'il n'avait pas encore utilisées, finissant pas se rendre compte que la porte était vérouillée, Antoine se dirigea vers lui et le força à se lever en prenant les bagages sur lesquels il était assis lui ordonnant d'ouvrir la porte. Il s'éxécuta avec un bruyant soupir, il n'avait pas envie d'aller dormir là tout de suite, ç'aurait été se laisser apprivoiser trop vite par cet institut qui voulait le rendre barjo.

Alors qu'il se demandait de quel bord il devait tourner la clé, Antoine lui demanda soudainement quel était son pouvoir, vite en affaire ce gars. C'était dommage qu'il n,ait rien à lui dire sur le sujet, son pouvoir était nulm et ne lui avait apporté quye de la merde, il n'avait pas envie d'en parler. il se tourna vers slui avec un sourire faussement désolé et répoondit:

-Je crois pas que ça t'intéresse, Pupuce.

Oui, son nouveau surnom était Pupuce, il n,y avait rien de mieux pour lui, une puce c'est petit, ça saute haut et c'est brun. Le petit allait devoir s'y faire car cette appelation allait rester gravée dans son crâne EN LETTRES DE FEUUUU.

Il fini par trouver la twist de la poignée et ouvrit la porte sur une chambre sobre, mais plus important, avec des lits. Frederick jeta sa clé quelque part et s'étendit de tout son long sur le premier matelas en vue avec un grognement peu gracieux, la présence du confort à quel point il se sentait fourbu, brisé et sale. Il tourna la tête evrs antoine et lui demanda:

-Tu sais ce qui faut faire pour appeler une masseuse dans cette école perdue?
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Sam 20 Déc - 1:39

  • [A]ntoine rageait en ce moment sur son pouvoir. Non mais, c’était qui l’idiot qui sauta pour se relever alors que son pouvoir c’était le super saut. Surement un idiot comme lui. Bon c’était un détail purement technique, mais il n’avait pas envie de mourir parce qu’il s’était fracassé la tête sur un plafond d’institut pour les gens comme lui. Ce n’était certainement pas voulu, mais il était évident qu’un peu plus et il y aurait passé, donc fallait voir le côté positif et se dire que justement il était encore en vie et plutôt en bon état, un peu effrayé, mais que voulez-vous, c’était la vie. Mais il ne devait pas avoir donné une bonne impression à ce bizarre de Frederick, mais dans le fond, qu’est-ce que ça lui faisait que ce type bizarre le trouve idiot, con ou quelque chose d’autre. En tout cas, il voulait cacher son idiotie, mais surement que l’autre bizarre ne l’aurait pas remarqué.

    [M]alheureusement pour Antoine, Frederick éclata de rire. Fronçant les sourcils assez brusquement, le jeune homme n’était pas content du tout. Pourquoi riait-il de lui ? Il n’avait rien fait de drôle sauf peut-être mis à part le fait qu’il s’était presque assommé sur le plafond et même encore, ce n’était pas vraiment ce qu’on pouvait qualifier de drôle… Retenant un mini peu la colère qui faisait rage en lui, le petit pou se retint également de mettre son poing dans la figure de Frederick. Le pouvoir du jeune homme était super, même s’il présentait quelques inconvénients. Normalement Antoine y était habitué, mais parfois, il n’arrivait pas à s’en rappeler alors ça donnait des incidents comme celui-ci. Serrant le poing légèrement, le super sauteur ne se contenta de simplement lancer le dernier bagage avec plus de force, être sportif ça avait quelques avantages quand même.

    [F]inalement alors qu’Antoine réussissait peu à peu à se calmer, Frederick se dirigea heureusement vers la porte de sa chambre. Au moins cet idiot comprenait qu’il fallait qu’il ouvre cette fichue porte. Décidément tanné par le fait qu’il était pris seul avec ce bizarre et en plus il était dans un couloir franchement… détestable qui faudrait d’ailleurs redécorer, le jeune homme fixa donc Frederick qui semblait prendre un bon momnet, qui ressemblait plutôt à une éternité pour Antoine. Alors qu’il s’apprêtait à prendre la clé des mains de son interlocuteur, le super sauteur fut stoppé par une remarque, enfin la réponse de Fred. La plus grande partie lui parut inutile, ça ne l’intéressait pas… d’accord. Soudain la fin de la phrase le fit réagir. Pupuce !? C’était quoi ce surnom pour idiot ? Antoine n’aurait même pas l’idée saugrenue de nommer un animal de cette façon, tellement c’était laid. S’écriant très fort de façon à e que toute la planète l’entende :

    - C’est qui que tu appelle Pupuce, monsieur le barjo étrange albinos ? -

    [G]rognant légèrement à cette appellation, Antoine attendit simplement l’autre barjo finisse d’ouvrir la porte pour frapper de son pied n’importe quoi qui se trouvait dans son chemin. Non, mais ! Qui était ce type complètement bizarre au point de l’appeler, lui un sportif endurci, pupuce !? Alors que la grande échalote s’étendait sur un matelas, le premier qui soit, Antoine lui kicka le bagage qui lui tomba sous le pied. Puis après il se lança sur un autre matelas en demandant sur un ton sec :

    - Aucune idée, je m’en fiche d’ailleurs. Mais au fait, pourquoi tu es ici au fait ? -
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Lun 29 Déc - 17:57

Frederick aurait pu arrêter de rire lorsqu'il sentit une autre avgue de mécontentement lui frapper la tronche, mais il était bien trop fatigué pour arrêter, il ne riait pas spécialement d'Antoine, il avait simplement enfin eu une raison d'éclater de rire et maintenant que c'était fait, plus moyen de l'arrêter. mais finalement, il finit par s'essouffler.

Alors qu'il cherchait désespérément de quel côté il lui fallait tourner sa clé, Fred' sentait les vagues de mécontement rafluer derrière lui comme à marée haurte, on aurait dit qu'antoine ne cessait de se rrouver des raisons d'être en colère contre la vie. Il vit que grincheux se fatigua et essaya de lui prendre ses clés, mais le surnonm venait de l'immobiliser complètement, comme un coup de poing dans l'estomac. Le jeuen allemand kle regarda en souriant à pleine dent de son sourire inquiétant, oui il n'avait pas mieux que Pupuce pour lui. Mais le petit pou n'était pas de cet avis, il s'écria avec une telle rage que Fred recula quasiment. Il y eut un silence après le cri pendant lequel Bückmann le fixa avec intéret, puis rit encore un peu, peut être avait-il raison, il était un barjo aux allures albinos. Il se retint de lui proposer un calin pour évacuer sa colère, ça allait tellement l'énerver qu'il allait sûrement exploser et plein de morceau de pupuce partout c'était pas très propre.

Il l'entendit distraitement kicker ses bagages qui ne contenaient rien de précieux, encore frustré. Pupuce appraissait à ses yeux comme ce genre d'ado perturbé qui a tellement de colère a revendre qu'il ne sait plus contre qui la diriger. L'école devait en être remplie. Il prit sa réplique sur les masseuses et lui avoua que, eh non, il n,e avait pas. Il en profita également pour recomencer ses questions. Frederick tourna la tête vers lui, lui afressant un sourire sardonique en répondant d'un ton interrogatif:

-Parce que je suis un barjo étrange albinos?

Antoine allait encore se fâcher, mais le jeune homme n'avait pas l'intention d'en dire plus à un parfait inconnu, il n'était pas aussi imprudent. Il était encore convaincu qu'une erreur avait été commise dans tout cela et qu'il allait bientôt se réveiller encore attaché sur une chaise. Il approcha une main de son nz pour y sentir encore l'écoeurante fragrance du sang qui n'était pas le sien. Il ne lui reservit pas l'habituel, et toi?, s'il n'avait pas envie de répondre, il ne lui demanderais pas non plus.
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MessageSujet: Re: .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine]   .:Somewhere around nothing [Libre, avec Antoine] Icon_minitime1Mer 31 Déc - 20:59

    [L]a colère d’Antoine aurait été perceptible pour n’importe qui. Pouvoir ou pas, il fallait être complètement idiot pour ne pas la remarquer. On pouvait quasiment la sentir dans l’air. Heureusement le jeune homme n’avait pas un pouvoir qui it la seule personne que le super sauteur voyait dans les environs c’était dommage, mais en même temps c’était intéressant de lui parler. Comme ça il pouvait passer sa frustration sur était dangereux et donc le fait qu’il soit en colère ne mettait pas la vie de Frederick en jeu. Ça par contre c’était vraiment dommage. L’idiot de barjo commençait vraiment à lui taper sur les nerfs. Pourtant il ne partait pas. C’était simplement parce que bizarre de la vie étaquelqu’un qui le méritait. Parce qu’évidemment, selon Antoine, Frederick amplement de subir sa colère puisqu’en plus il en était la cause… Enfin une des causes. Particulièrement depuis qu’il s’était mis à rire de lui.

    [B]ien sur Antoine ne se calmerait pas, particulièrement après avoir entendu Frederick rire d’une façon aussi intense pour absolument rien. Alors que le jeune homme tentait d’accélérer le processus d’ouverture de porte, l’idiot lui sortit le pire surnom possible ce qui coupa complètement le jeune homme dans son élan, il faisait exprès ou quoi ? Le sourire bizarre de Frederick mit le petit pou dans un colère. De nature impulsive, Antoine était quelqu’un qui ne fallait pas provoqué. Il n’allait retenir ses mots, ou ses coups pour être plus exact. Encore une fois, Frederick rigola pour absolument rien. Il n’y avait rien de drôle dans les environs, même les idioties de Fred n’était pas drôles alors… Alors que le petit pou s’apprêté à frapper l’idiot, ce dernier réussit à débarrer et ouvrir la porte ce qui calma un peu le garçon impulsif qui ne demandait rien d’autre que de mettre son poing au visage de cet imbécile.

    [A]lors que le jeune homme frappait les bagages de Frederick, Antoine ne réfléchissait pas du tout au sujet du contenu de ces valises. Il y avait peut-être des trucs fragiles, mais si c’était le cas, tant pis, Antoine n’avait pas du tout envie de faire attention aux choses de cet idiot. Puis il s’installa sur un lit au hasard, ce n’était peut-être pas sa chambre, mais il voulait se reposer avant de repartir dans la sienne pour se calmer. La question de Frederick le fit froncer les sourcils, mais pour une fois le jeune homme réussit à contenir sa colère. Le super sauter répondit sur un ton bourru qui exprimait parfaitement son émotion :

    - Bien sur ! Mais tu n’as pas répondu à ma question idiot. -

    [I]l avait beau ne pas aimer ce type, il voulait avoir la réponse à sa question. Antoine n’était pas du genre qui tournait autour du pot et maintenant qu’il voulait savoir pourquoi il était ici, il ne lâcherait pas Frederick avant de le savoir. Peut-être que cet idiot ne l’avait pas encore comprit, mais il ne tarderait pas à le faire. C’était aussi évident que dire que la terre était ronde. Bref toujours en colère contre son interlocuteur, le jeune homme commença à kicker un oreiller qui se trouvait sur le lit qu’il occupait.
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