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 Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]

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MessageSujet: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Sam 13 Juin - 15:27

Douce journée ensoleillé. Le soleil ce levant à peine, les rayons laissaient entrevoir la structure intimidante du bâtiment. Tsukiyo restât une bonne dizaine de minute à contemplé l’immense ombre se découvrant peu à peu devant ses yeux. Un sourire niait apparut au visage de Tsukiyo quand elle pensa à la fierté qu’auraient ressenti ses parents si ils auraient su qu’elle avait enfin trouvé ce mystérieux institut toute seul.

Ce posant des milliers de questions sur la décoration qu’il y aurait à l’intérieur ainsi que sur les gens qui devait le peupler. Elle se prit à rigoler en imaginant des personnes avec des bras faisant trois fois la taille du corps de celle-ci ou encore d’autres avec des cheveux serpents comme Médusa. Elle, elle était normale, le simple fais qu’elle devenait invisible ne lui venant pas à l’esprit, elle se sentit supérieur aux autres par rapport à son physique ordinaire. Engageant un pas décidé en direction de l’établissement, elle avait enfilé son plus bel uniforme scolaire. Regardant tout droit, marchand d’un pas régulier, elle dégageait une sensation de personne sur d’elle-même.

Arrivé devant la porte d’entré son cœur ce mit à battre à cent à l’heure. Mâchant sans interruption son chewing-gum, elle ouvrit la porte du bâtiment qui rayonnait de mille feux. Sa surprise fus sans conteste la chose que l’on retiendra le plus de son entrée. Tout ce qu’elle avait imaginé était à mettre à la poubelle. Voyant un dizaine d’écolier en face d’elle, d’apparence physique qu’elle qualifia de « normale » cinq minutes auparavant, elle se mit à regarder le sol de façons à faire croire qu’elle avait perdu un objet.

Elle qui pensait que ses parents auraient été fière d’elle si ils auraient su qu’elle avait trouvé l’école toute seul, comment auraient-ils réagi s’ils l’avaient vu à se moment là? Relevant doucement la tête, elle se figea de nouveau devant cette réalité : il n’y avait pas de personne ayant un bras plus gros que l’autre et ainsi de suite. Cherchant désespérément une façon de se reprendre, un frisson s’empara d’elle.

C’est a ce moment la qu’elle prit la décision de faire demi-tour, non pas par peur des autres (même si cette hypothèse est probable) mais simplement pour fumer une cigarette. Celons elle il n’y avait que cela qui pouvait la faire déstressé. La nostalgie de ses années précédente s’empara de notre bonne élève quand elle alluma ce petit tube blanc.

Ayant fini sa cigarette, elle changea de chewing-gum et retenta une approche. Le sentiment de mal-être n’y était plus, elle regardait autour d’elle ne voyant que des personnes sans grand. Lâchant un petit sourire elle se mit à avancé quand elle sentit son pied se comprimer brusquement, une personne venait de s’écrouler devant elle.
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MessageSujet: Re: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Sam 13 Juin - 21:40

Après l’échec cuisant de sont après-midi avec les deux inconnus, Lucy n’avait pas bougé de la foret toute la nuit. Pleurant sans arrêt elle ne comprenait pas pourquoi elle avait réagi comme cela, pourquoi elle avait tout gâché. Elle ne demandait pas grand-chose, juste de la compagnie. C’était trop demandé ? La voie à l’intérieur de sa tête ne se taisant plus lui criant à chaque occasion :

« Ce ne sont que des personnes sans intérêt, ils ne veulent même pas de toi. Venge toi, fais leur du mal autant qu'ils t'en ont fait. Fais les souffrir au plus profond de leurs âmes, détruit les, tue les. »

A la prononciation de la dernière réplique de cette mystérieuse voie, Lucy se mit à crier de tous son âme contre elle-même. Ne comprenant pas pourquoi il y avait quelque chose de si étrange à l'intérieur d'elle. Pourquoi elle ?

Le rideau de perle translucide fit malheureusement apparaitre les rayons du soleil qui se levait petit à petit. Séchant ses larmes le plus possible, elle se releva péniblement en s’accrochant à l’arbre qui l'avait accueilli plusieurs nuits depuis son apparition dans cet établissement. Lucy n'était plus seulement insomniaque, elle était dorénavant complètement perdue. Ne voyant que trouble dû à la quantité de larme qui a dû couler pendant la nuit, elle pensa stupidement :

« Et bien ma vieille, tu vas encore avoir les yeux défoncé »

Ce remettant en marche vers l'antre de la souffrance, espérant secrètement croiser les personnes qu'elle avait rencontrées la veille pour au minimum s'excuser, elle ne savait plus quoi faire. C'était comme si elle n'avait plus rien à l'intérieur d'elle-même. Le terme vide serait un euphémisme dans l'état où elle était. La seule chose qui ne la laissait jamais seul c'était cette voie. Si charmante et si détestable à la foie.
Quand elle fut prêt de la porte de l'établissement, sa vue c'était rétabli un minimum. Pouvant apercevoir l'état de ses vêtements devenu marron à cause de la pluie qui était tombée la nuit dans la foret, elle se mit à se presser pour pouvoir enfin prendre une douche, se changer et recommencé son inexistence. Ce mettant à trottiner, elle ouvrit la porte d’un bras énergique et se mit à courir pour arriver à sa chambre sans que personne ne puisse la voir.

C'est à ce moment-là que le drame se produisit. Concentré dans sa course elle n'avait pas vue le pied de l'élève devant elle, et compte tenu de la boue qui ornai les chaussures de notre petite Lucy, elle plongeât tête la première contre le sol.

Se retournant péniblement, entendant des ronchonnements derrières elle, elle s'excusa sans trop y penser. En effet, la douleur concentrait toute l'intention de Lucy et même la voie avait disparu. Voyant que les ronchonnements de la personne ne s'arrêtaient pas, elle s'excusa une seconde foi en essayant d'ouvrir les yeux.

Ce qu'elle vit la laissa sans voie. Bien que sa vue n'était pas du tout au point, elle discernait les traits d'une personne qui avait l'air magnifique. Voyant que celle-ci ne s'arrêtait toujours pas, Lucy ce mit à crier :

« Je t’ai dit pardon ! »

Ayant levé la voie trop fort à son gout elle vit tous les regards se fixer sur elles. Regardant de nouveau la personne qui avait encore fait mal commencé une de ses journées, Lucy vit une main tendue vers elle. Surprise, elle ne savait plus quoi faire. Commençant à tendre la main à son tour, elle la remit par terre en se disant :

« Toi aussi tu dois être comme les autres, laisse-moi »
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MessageSujet: Re: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Lun 15 Juin - 21:28

Alors c’était ça l’institut que son père avait trouvé à Tsukiyo. Mais à quoi s’attendait-il ? Il n’y avait personne de différent, que des élèves normaux voire même plus laid qu’à l’ordinaire. La décoration changeait grandement des écoles que Tsukiyo avait parcouru durant toute son enfance, celle-ci était plus chaleureuse, plus conviviale. Aucun cadre pouvant ce raccrocher au scolaire donc.

Quand son pied se mi à crier de douleur, Tsukiyo ferma les yeux. Mais qu’étais-ce donc ce gros tas qui avaient osé réduire son pied à néant ? Quand ses yeux se rouvrirent, elle ne faisait que de répéter sans cesse :

« Qui que tu sois, tu as de la chance que sa soit mon premier jour sinon je te jure que … »


Son regard scrutant la dépouille de la personne à terre. Sérieusement on aurait dit un gros sac. C'était mal habillé, une discordance des couleurs prêtes à faire fuir tout styliste débutant. Puis qu'est-ce que c'était que cette couleur de cheveux ? Rose ! Tsukiyo espérait secrètement que cette personne était payé pour osé être vêtu de la sorte, à moins que ce soit le carnaval dans cette partie du monde ? Non, ce n'étais pas du tout l'époque du carnaval, alors quoi, c'était un piège réservé à chaque nouveau venu comme sorte de bizutage ?

Son regard se posa ensuite sur sa ballerine qui prit la plus grande partie du choc. Elle était devenue immonde. Surplombé de boue, on aurait dit un éclaire au café complètement explosé. Voyant cela, Tsukiyo commença à sentir la rage montée en elle. Mais c’était quoi cette école de dingue ! De un ils ont tous sois disant un pouvoir et de deux ils ont aucun respect pour les autres. Même pas ce sac s’excusait. A croire que l’idée du mannequin débordant de boue était une conjecture valide.

« En plus tu viens de tuer ma ballerine à 80€ ! Mais vous êtes tous complètement stupide ici ou quoi ? »

Le ton était calme. Certes il ne disait rien qui vaille, mais Tsukiyo ne criait pas. Pensant pertinemment que c'était une blague de mauvais goûts, il ne fallait pas attirer les regards. Quand son visage commença à se décrisper, elle entendit un son. Comme si on étranglait un porc. C'était saccadé et en même temps féminin. Le problème c'était que le terme hurlement ne convenait pas.

« Je t’ai dit pardon ! »

Alors quoi ? Ce gros sac n'est pas une farce ? Il vie ? C'est une personne ? Les joues de Tsukiyo virèrent au rouge tellement sa honte était grande. Si ces parents l'avaient vu réagir comme ça, elle était sûr qu'il l'aurait à jamais banni de la maison. Il fallait trouver une façon de se rattraper. C'est à se moment-là que l'idée d'aider le « truc » lui vint en aide. C'est vrai ça, si elle l'aidait ses parents ne lui en voudraient pas. Lui tendant la main, elle attendit pendant plus de cinq minutes sans bouger.

Quand le visage de la chose se tourna, Tsukiyo ne put s’empêcher d’exprimer un son de surprise. Elle était magnifique ! Ses yeux, son regard, la finesse de son visage, il n’y avait rien qui n’allait pas. Même la couleur de cheveux si repoussante à première vue allait parfaitement avec ce visage si mignon. Tsukiyo n’était pas lesbienne, loin de là, mais dire qu’elle l’avait trouvé repoussante serait un mensonge.

Affichant un sourire protecteur, Tsukiyo continuait de tendre la main.

« Toi aussi tu dois être comme les autres, laisse-moi »


Cette déclaration la mit dans un état assez gênant. Déjà que tout le monde les regardait, maintenant elle se tape l'affiche avec la plus jolie fille qu'elle n'avait jamais vue. Quel comble. Puis qu'entendait-elle en disant tu es comme les autres ? Et ce « laisse-moi » à la fin de sa phrase, que voulait-il signifié ?

Repartant dans ses fantasmes sur les personnes vivants dans cet institut, elle se prit à croire que les gens étaient ici tous bien poli, alors que dix minutes avant elle pensait le contraire. Revenant à la réalité, voyant que la jeune fille ne lui prenait pas la main, elle sentit une envie démesurée de connaître cette jeune fille. Tsukiyo n'avait jamais laissé tomber personne, cela n'allait pas commencer aujourd'hui, puis ses parents ne l’accepteraient pas. Prenant une grande respiration elle se rapprocha du visage de l’inconnu en lui murmurant :

« Ecoute, je ne sais pas qui tu est. Moi je suis nouvelle ici et dire que je suis comme les autres est une réaction quelque peu active tu ne trouves pas ? Si on prenait le temps de discuter je suis sûr que tu verras que je ne suis pas si banale que cela. »

Continuant à tendre la main, elle reprit son discoure avec pour espoir que l’inconnu réponde à sa question :

« Je m’appelle Tsukiyo. Et toi ? »
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MessageSujet: Re: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Mar 16 Juin - 21:50

Lucy avait mal partout. Non seulement sa tête lui lançait telle une migraine d'amplitude neuf sur l'échelle de Richter, mais en plus ses jambes étaient devenues lourdes comme si on avait posé des poids dessus. Elle pensait que rien de pire ne pouvait se produire, après la journée qu'elle avait passée la veille, rien ne semblait aussi chaotique que cela. Elle se trompait. Ce matin-là fut une preuve incontestée. Elle avait réduis les pieds de quelqu'un à néant et en plus c'était limite fracturé le nez.

Certes sa réaction vis-à-vis de l'inconnu qui lui tendait la main était quelque peut démesuré mais il y avait tellement de choses qui avaient changé dans sa vie en peu de temps que rien ne pouvait être autant chamboulé que son existence.

« Alors quoi, après le fiasco d'hier tu nous remets ça à jour, mais tu a vraiment un problème ma petite. Quand tes parents ton mis au monde, tu es sûr qu'ils n'avaient pas bu ? »

La voie n'arrangeait rien. Après le choc elle était si forte que Lucy se prit à mimer les phrases de celle- ci. Comme si la voie commençait à prendre le dessus sur elle. Une sensation très désagréable et quelques peut perturbante. Il ne fallait pas céder à toutes ces remarques. Il fallait rester soit même. Certes il fallait que Lucy apprenne à la contrôler, mais ça ce n'était pas encore d'actualité. Tout d'abord il fallait se relever.

Voyant que celle qu’elle avait complètement écrasé lui tendait la main, la voie prit le dessus sur Lucy en criant le célèbre : « Je t’ai dit pardon ! ». Cette remarque fit monter la rage en Lucy, comme si son humeur était en train de changer. Il n’y avait plus de place pour les larmes, plus de place pour s'apitoyer sur son sort. La c'était le moment ou tout allais exploser. Prenant une grande respiration, Lucy était concentré à reprendre son calme. Ce qu'elle n'avait encore jamais fait. Il fallait que cette rage ce dissipe et le plus tôt possible. Lucy était tellement concentrée qu'elle ne s'apercevait pas que sa victime s'approchait d'elle à tel point que quand elle vit la personne à côté de son visage il était trop tard.

« Écoute, je ne sais pas qui tu est. Moi je suis nouvelle ici et dire que je suis comme les autres est une réaction quelque peu active tu ne trouves pas ? Si on prenait le temps de discuter je suis sûr que tu verras que je ne suis pas si banale que cela. »

Complètement bouche bée, Lucy restât à terre. Une nouvelle ? Alors comme ça cette fille était nouvelle ici. Il était vrai que Lucy n'avait jamais vue personne dans cet institut à part par la fenêtre de la bibliothèque mais cela ne comprenais que peu d'élèves de celui-ci. La fin de la phrase mit plus de temps à monté au cerveau. Elle voulait discuter ? Avec elle ? La dernière fois qu'elle avait discuté avec quelqu'un elle à fini en pleurant dans la foret tellement elle était déçu d'avoir tout gâché. L'expérience ne la tentait guère. Pourtant il y avait quelque chose chez cette personne qui n'était effectivement pas banale. Après avoir mis son pied en miette et une de ses belles chaussures complètement saccagé, elle lui tendait encore la main.

Restant perplexe, regardant cette personne féminine en face d'elle, penché de façons très maintenu et continuant à lui tendre la main, Lucy ne savait plus quoi faire.

« Dois-je lui laisser une chance ? » pensa-t-elle.

« Oui, laisse-lui une chance pour qu'elle te ridiculise comme les deux autres d'hier. Tu n'as pas eu ton compte on dirait. Laisse-lui une chance, je pourrais enfin leur faire payer ! »

Lucy nu pas le temps de prendre en considération la remarque si haineuse de cette voie que la fille reprit la parole en disant :

« Je m’appelle Tsukiyo. Et toi ? »

Alors comme ça elle était nouvelle et osait se présenter comme cela à un inconnu. En effet, elle ne pouvait qu'être nouvelle du point de vue de Lucy. La voie continuant ses sarcasmes, Lucy regardait désespérément cette jeune demoiselle avec ses écouteurs si étranges. Elle était décidé. Il ne fallait pas que le fiasco d'hier ce reproduise. Si elle était si différente qu'elle le prétendait, il fallait lui laisser une chance. Mais comment ? Elle n'allait pas lui demander d'être son ami étant donné qu'elle ne la connaissait pas, et de la remercier pour le geste qu'elle faisait pour l'aider à se relever serait passé au point de vue de l'autre personnage comme une simple moquerie de sa part. Non il fallait quelque chose avec du tact, quelque chose qui ne la fasse pas fuir. Elle prononça péniblement :

« Je m’appelle Nyu. Excuse-moi encore pour tes chaussures. Si tu es nouvelle, je devrais pouvoir t’aider à trouver ta chambre si tu veux »

Lucy mentait. A par sa propre chambre, le toit et la bibliothèque elle ne connaissait rien. Mais la recherche de la chambre servira de moment pour entamer la discutions que cette Tsukiyo voulait t'en. Peut être voulait-elle juste-là disputer pour ses chaussure. Lucy n'en savait rien. Ce qu'elle voulait c'était juste de ne pas éternisé le moment. Prenant la main de l'inconnu qui ne l'était plus, elle se releva avec du mal. Lucy s'apercevait que sa fatigue commençait à lui porter préjudice car resté debout était devenu un effort pour elle.
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MessageSujet: Re: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Jeu 18 Juin - 18:45

Le temps passait trop lentement. Tsukiyo commençait à avoir des crampes à forces d'être baissé sur la jeune demoiselle accroupi en face d'elle. Tsukiyo ne comprenais pas la jeune demoiselle en face d'elle. Trop émotive ou complètement sotte peut être ? Elle ne répondait pas. Pourtant était-il si difficile de répondre à sa question ? Tsukiyo commençais à penser que la personne en face d'elle avait quelque trouble dû à un stress récent voir même inexistant qui sait ? C'est vrai ça, Tsukiyo était dans cet institut depuis quelques heures et se posait déjà la question de savoir si c'était bien un institut scolaire ou un hôpital psychiatrique.

Non, il ne faisait aucun doute, son père ne c'était pas trompé. Il ne ce trompait jamais. Alors comment ce faisait-il que la personne en face d'elle ne réagisse pas quand on lui pose une des questions les plus simples ? L'intention de Tsukiyo commençait à se contenter de la jeune inconnue en face d'elle, toutes les personnes autour avaient disparu pour elle. Elle était concentrée sur l'inconnu.

Comme à la première impression qu’avait eu Tsukiyo quand l’inconnu c’était retourné, notre belle et sage écolière était complètement sous le charme de la jeune fille en face d’elle. Son regard se détourna quelque peu pour se baisser sur le pull-over rose de la fille. Tsukiyo se surprenait en train de regarder la poitrine de son interlocutrice. Gêné elle releva le regard et le remit directement dans les yeux de la belle inconnue. Tsukiyo se mit à rougir soudainement. Elle se prenait à regardé la poitrine d'une inconnue, à rougir devant elle, à trouvé quelqu'un de beau alors que cela n'était jamais arrivé. Quelque chose n'allait pas ; et ce temps infini qu'elle m'était à répondre. Non Tsukiyo ne voulait plus attendre, elle la désirait, elle la voulait. Le plus beau cadeau que pouvait lui faire cet inconnu c'était de lui donner son prénom. Au moins elle pourrait nommer la personne qui a fait naître autant de désir en elle et pouvoir essayer de passer à autre chose.

Comment la forcer à répondre ? Tsukiyo ne voulait pas froisser cet inconnu et perdre ses chances de pouvoir l'approcher. Chaque seconde était une torture. Elle sentait sa salive abonder dans le fond de sa bouche et le fait d'avaler lui provoqua une petite douleur. Elle ne pouvait plus attendre, il fallait qu'elle fasse quelque chose. Commençant à peine à ré-ouvrir la bouche elle entendit le son de la voie de l'inconnu :

« Je m’appelle Nyu. Excuse-moi encore pour tes chaussures. »

Nyu ? Alors c'était comme cela qu'elle s'appelait ? C'était bizarre, Tsukiyo ne connaissait pas ce prénom. Il était différent, il était simple et quelque peut mignon, comme celle qui le portait. Tsukiyo se reprit à rougir pour la seconde fois mais cette fois si en offrant à son ôte un sourire charmeur.

Ouvrant grand les yeux, elle s'aperçut qu'elle était en train de vouloir charmer cette « Nyu ». Pour la première fois de sa vie, Tsukiyo faisait du gringue à quelqu'un qui plus est une fille. Le comble ! Que dirait son père s'il aurait su cela ? Rien surement, puis il aurait dû accepter de toute façon. Reprenant conscience de ses actes, elle prit une voie douce qu'elle aurait voulue largement moins chaude en disant :

« Ne t'inquiète pas pour ces chaussures, de toutes façons je ne les aimais pas »

Mensonge ! Tsukiyo avait travaillé un mois entier pour pouvoir les acheter et là, elle ne les aimerait pas ? Tsukiyo ne comprenait plus rien, elle disait quelque mensonge, se surprenait à rougir et sourire pour rien et en plus il y avait quelque chose dans son ventre qui se tordait à chaque prise de parole de son interlocuteur. Comme s'il y avait quelque chose de mystique dans ce que Nyu disait.

« Si tu es nouvelle, je devrais pouvoir t’aider à trouver ta chambre si tu veux »

La nouvelle réjouies Tsukiyo. Alors comme cela elle était polie, joli et en plus serviable. Elle a vraiment tout ce qu'il faut. Ce qui réjouissait le plus Tsukiyo c'est qu'elle allait rester encore un moment avec son « Apollon » féminin. Que du bonheur en perspective.

« Avec plaisir, je suis dans la chambre n°7 »
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MessageSujet: Re: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Jeu 25 Juin - 1:14

Tout ce que voulait Lucy était de prendre sa douche. La nuit passée dans la foret n'avait été bénéfique ni pour elle ni pour son corps. Elle était plus que jamais fatigué et en plus la voie ne c'était pas interrompu une seule seconde. Qu'elle calvaire. Lucy commençais par perdre espoir.

Quand elle tomba ce matin-là c'était la goutte qui faisait déborder le vase. Lucy était à bout de force et en plus elle avait marché sur le pied de quelqu'un qui avait l'air assez snob sur les bords. Habillé tout en uniforme réglementaire scolaire des pays de je ne sais ou, elle avait un énorme casque qui pendait le long de son coup. Lucy n'y aurait pas prêté attention si les petits motifs de lapin n'avaient pas été dessinés sur les écouteurs. Cela faisait un énorme contraste entre la personne qu’elle avait devant elle et ce casque. On voyait que la fille n’avait pas de réel problème d’argent, la coupe de cheveux était soigné, sa tenu impeccable, elle se tenait bien droite et regardait souvent devant elle. Malheureusement c'était Lucy qui était devant elle. Ce regard commençait à être pesant voir même angoissant. Lucy ne comprenait pas, mais ce regard avait quelque chose d'étrange, comme si la fille devant elle la regardait avec un intérêt énorme.

« Et bien, tu arrives à faire fuir les hommes, mais les femmes tu sais t'y prendre. Tu es vraiment une erreur de la nature, laisse-moi juste régler le compte à cette garce qui te mange des yeux »

Lucy prit en compte pour la première fois cette voie qui surgissait trop souvent dans sa tête. Alors comme ça la voie pensait que la fille la mangeait du regard. C'est assez plaisant comme idée. Lucy se mit quelque peut a rougir, elle venait de se rendre compte que c'était la première fois qu'elle plaisait à quelqu'un. Mais si ce n'était pas le cas et qu'elle ne lui plaisait pas ? Peut-être la jeune femme devant elle la regardait juste par politesse ? Lucy rougissait de plus en plus et se mit à avoir honte de son état.

« Alors comme ça tu veux plaire à une fille, mais pas à un garçon ? Ce n'est pas à elle que je devrais régler son compte, mais plutôt à toi oui ! »

La voie eu l'effet d'une balle. De la couleur rosâtre elle passât au blanc linge. De nouveau Lucy plongea dans le profond regarde de Tsukiyo. Il y avait quelque chose dans son regard qui était vraiment différent, mais elle ne savait pas quoi et elle ne voulait plus écouter la voie par peur de recommencer à envisager l'impossible. Personne n'aimait Lucy, même pas les deux qui étaient venus la veille. Alors pourquoi elle ? Le temps de la réflexion commençais à prendre à temps infini et Lucy finit par lui dire son prénom. Même si elle n'avait aucune chance il fallait bien essayer. Après les après-midi entière dans la bibliothèque elle avait retenu le proverbe qui était inscrit sur son article de journal :

« La police tente toujours d’attraper le meurtrier. Comme on dit, qui ne tente rien n’as rien »

Se remettant debout avec une douleur atroce dans les jambes, Lucy attendait de connaître le numéro de chambre avec impatience pour pouvoir enfin partir à ses occupations. Certes elle voulait des amis, mais prendre une douche était à ce moment sa seule priorité.

« Avec plaisir, je suis dans la chambre n°7 »

L'univers tout entier tomba en ruine. Comment sa ? Chambre n°7. Lucy croyait halluciner. Elle fut même tentée de lui demander de répéter, mais elle ne voulait pas paraître pour quelqu'un de stupide devant cette demoiselle. Alors comme ça, cette Tsukiyo partagera sa chambre.

« Elle est venue pour nous tuer, pour nous espionner. Elle a même le numéro de la chambre où nous sommes. Je ne la sentais déjà pas, mais là sen est trop. Laisse-moi lui faire dire pourquoi elle est là, laisse-moi lui faire assez mal pour qu'elle ne puisse plus jamais te mentir et surtout laisse-moi tuer les deux imbéciles d'hier. Ils ont joué avec toi, mais ils ne joueront pas avec moi »

Plus la voie continuait de parler et plus Lucy sentait la haine montée en elle. Il fallait qu'elle trouve un exutoire. Elle se remit donc à croupi pour faire semblant de faire ses lacets et serra sa tête si fort qu'un mal de tête apparu. Décidément aujourd'hui n'était pas sa journée. Se redressant docilement elle murmura assez fort pour que le destinataire comprenne.

« Je m'excuse depuis hier j'ai une migraine, il faudra que je passe à l'infirmerie »


L'infirmerie ? Ce n'était pas l'endroit ou le docteur folle amour était réfugié ? Rien que l'image de son image lui donna des frissons. Voyant que la jeune fille en fasse d'elle n'avait pas l'air dupe, Lucy enchaîna directement d'une voie plus chaude sur un ton de voie s'approchant du murmure.

« Si j'ai bien compris tu es dans la chambre n°7. Si c'est vraiment le cas, tu vas devoir me supporter pendant un long moment. »


Voyant que le visage de Tsukiyo restait tout d'un coup perplexe, Lucy précisa :

« Je suis dans la même chambre que toi »


Lucy tourna les talons et fit un signe de la main à Tsukiyo pour lui signifier de la suivre dans les longs couloirs de l'institut et ce mit à marcher à une allure constante pour pouvoir enfin prendre sa douche.
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MessageSujet: Re: Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ]   Premier jour [ Lucy Tenshi Daraku ] Icon_minitime1Dim 5 Juil - 0:54

Tsukiyo regardait la jeune fille devant elle sans bouger. Elle la regardait sans arrêt, arborant les traits fin du visage de son interlocuteur, elle regardait de plus en plus les lèvres de celle-ci. Elles étaient si fines, si belle, aguichante. L'aspect bombé de celle-ci rendait Tsukiyo complètement folle. Si seulement elle aurait pu les toucher, les goûter.

Son teint se mit à virer au rose clair, le problème était que celui de Nyu le faisait aussi. Tsukiyo ne savait plus quoi pensé, déchiré entre l'envie d'embrasser une fille alors que cela ne lui était jamais arrivé et le fait que cette belle demoiselle rougissait aussi. Pourquoi Nyu rougissait-elle ? L'attirance de Tsukiyo envers Nyu était-elle partagé ? Cette idée mit Tsukiyo dans un état d’esprit plutôt serein, elle qui n’avait jamais eu envie de rien, de personne commençait à fantasmer sur une inconnue et cela lui plaisait à l'idée que l'inconnu en question ressentirait la même chose pour elle. Elle se voyait déjà entrelacé avec elle, l'embrassant tendrement. Pouvoir sentir son odeur, sa chaleur. La douceur de la jeune demoiselle au fil de ses doigts. Pouvoir enfin assouvir ses pulsions, pouvoir être avec elle.

Le retour à la réalitée fut plus soudain. Tsukiyo était loin d'être dupe et repris en considération qu'elle était dans un établissement de mutant. Alors pourquoi rougissait-elle ? Elle voulait tellement que ses premières pensées soient vraies, mais savais pertinemment que celle-ci ne pouvait l'être. Elle voulait demander conseille à son père, lui demander comment elle devait réagir, comment elle devait se comporter. Seul son soutien aurait pus l'aidé dans sa détresse. Le pire fus que Tsukiyo imagina d'autre réponse au rougissement de l'inconnu. Et si elle lisait dans les pensées ? Nyu saurais alors tout ce que Tsukiyo avait imaginé, tout ce qu'elle voulait. Son envie croissante de poser ses lèvres contre les siennes et surtout l'étrange sensation présente dans son ventre qui ne faisait que de descendre au fil du temps. Son visage n'était plus rosé, plus chaleureux il ne montrait que la terreur qu'éprouvais Tsukiyo la pensée que Nyu voyait clair dans son jeu. Et si Tsukiyo lui demandait le pouvoir qu'avais la belle demoiselle en face d'elle tout serait clair pour elle et peut-être qu'elle serait moins sur les nerfs.

Tsukiyo fut extirpé de ses pensées quand ses yeux virent la belle jeune femme disparaître de son champ de vision. Que faisait-elle ? Tukiyo sentit la sensation au creux de son ventre grandir soudainement, ses intestins se rétractaient, puis plus bas, quelque chose commençait à s'enflammer. Quand Nyu n'était plus dans le champ de vision de Tsukiyo le monde de fantasme qu'elle c'était inventé ne cessai de s'accroître. Cette sensation devait la déconcentrer quelque peut, car elle se surprenait à éprouver un manque envers la personne en question. Son regard se baissa donc et ce heurta à la vue magnifique de son idéal féminin. Pour la première foie elle vit les cornes présentes sur la tête de celle-ci. Elle était étonnée et en même temps intrigué par celles-ci. Pourquoi avait-elle des cornes ? Les mains de Nyu ce mettaient à serrer sa tête. Tsukiyo regardait ce spectacle impuissante. Comme si l'idée que le pouvoir de Nyu comme quoi elle lisait dans les pensées s'avérait plus que plausible.

Quand Tsukiyo pu enfin ré apercevoir le visage de Nyu, elle ne la trouva que plus belle, les cornes qui ornaient la tête de cette jeune demoiselle augmentaient de façons exponentielles la magnificence de celle-ci. Elle voulait tant lui dire tout ce qu'elle trouvait envers Nyu, mais avait tellement peur de se ridiculiser, d'être complètement dépourvu devant elle. Tsukiyo se surprenait à penser comme cela. Depuis quand elle se souciait de ce que pensait les autres ? Tsukiyo emprunta un visage surpris mais ne pus se concentré dans ses pensées, car Nyu ce mi soudainement à parler :

« Je m'excuse depuis hier j'ai une migraine, il faudra que je passe à l'infirmerie »

Alors c'était pour cela qu'elle c'était effondré par terre? L'idée que le pouvoir de lire dans les pensées commençait à disparaître. Tsukiyo pensait qu'elle ne pouvait pas avoir son pouvoir que depuis hier, sauf si elle était nouvelle. Elle se risqua donc a posé sa question :

« Tu es nouvelle ici toi aussi ? »

Elle ne savait pas pourquoi elle avait posé cette question, mais sentait qu'il fallait qu'elle sache. Même si ce n'était pas une façon directe de savoir quel pouvoir avait cette jeune demoiselle, sa réponse pouvait signifier beaucoup de choses pour Tsukiyo et même la libérer de ses peurs.

Tsukiyo fut de nouveau arraché de ses pensées quand l'inconnu qui ne l'était plus lui répondit :

« Si j'ai bien compris tu es dans la chambre n°7. Si c'est vraiment le cas, tu vas devoir me supporter pendant un long moment. »

Tsukiyo n'avait rien compris à cette réponse. Elle était dans la chambre n°7 il n'y avait aucun doute, mais pourquoi Nyu avait utilisé tant de réserve à ce sujet. Puis qu'entendait-elle par « devoir la supporter pendant un long moment » ? Tsukiyo ne demandait que cela, qu'être à ses côtés. Les cours, son ancienne vie, tout passait aux oubliettes. Il n'y avait dorénavant que son père et Nyu. Elle ne savait pas encore comment se débrouiller pour pouvoir enfin assouvir ses envies, mais l'idée de présenter Nyu à son père devenait de plus en plus ancré dans sa tête. Elle voulait Nyu comme copine, comme amie, comme petite amie. Elle en était sur maintenant, mais comment la séduire? Tsukiyo n'avait jamais eu aucun problème de séduction avec quiconque et maintenant elle remarquait son manque non négligeable en la matière. Constatant qu'elle ne comprenait toujours pas ce que Nyu lui avait dit, elle réfléchit pendant un certain moment. Pendant peut-être mêle trop longtemps, car Nyu enchaîna par un :

« Je suis dans la même chambre que toi »

Tsukiyo fit un énorme sourire, ses yeux reflétaient le soleil avec tellement de grâce que même le chat dans « Shrek » était un petit joueur à côté d'elle. Comment pouvait-elle lui dire toutes la joie qu'elle avait ressenti à l'entente de cette magnifique nouvelle ?

« Je suis honoré de partager ma chambre avec toi »

Elle était pas honoré, mais plutôt impatiente. Pour devenir son amie, cela serait plus facile si elle partageait sa chambre et maintenant elle en avait l'opportunité. Tsukiyo voulait remercier son père. Il lui fit rentré dans un institut soit disant pour mutant, mais en plus lui avait fais connaître le désir de quelqu'un.

« Je suis même plutôt heureuse de partager ma chambre avec toi »

Cette remarque était sortie toute seule. Tsukiyo rougissait à vue d'oeil et ce repris le plus rapidement possible :

« Je veux dire par heureuse, que tu es la première qui aie bien voulu me parler et pour cela je t'en suis reconnaissante »

Tsukiyo ne savait pas si elle avait « rattraper le coup » mais espérait que son idéal féminin ne soit pas trop méchante avec elle.
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